Afin de répondre aux besoins de transport pour le jour olympique JO de 2024,Paris a prévu de mettre en service un millier de taxis PMR. L’objectif est de faciliter la tâche aux personnes à mobilité réduite qui visiteront Paris pendant cette période de fête. De préférence des voitures électriques ou hybrides, Cependant, de nombreux défis accompagnent ce plan, car la batterie laisse peu de place à la rampe d’accès.
L’article explique comment les taxis PMR sont utilisés pour le transport durant les Jeux olympiques et quelles préparations doivent être faites pour qu’ils soient efficaces.
Lorsque la presse évoque un retard dans l’organisation des jeux olympiques en France, c’est sûrement pour objectifs d’évoquer les obstacles et les problèmes qui se dressent sur la voie du train Grand Paris Express et les dépassements de budget.
Mais derrière ces enjeux colossaux se cachent d’autres, plus modestes, mais avec des conséquences largement sous-estimées. Comme celui de l’accueil des personnes à mobilité réduite.
Il y a beaucoup d’intérêt pour ce qui se passera en 2024, mais il y a aussi beaucoup de questions sans réponse. Une question que les gens se posent est : Que va-t-il se passer avec les taxis PMR ?
Le nombre de visiteurs et de touristes est assez important, les Franciliens sont presque soixante mille à se déplacer chaque jour avec fauteuil roulant. Ces personnes de tous âges accueillent avec bonheur l’ambition affichée du gouvernement d’atteindre un nombre de mille taxis parisiens équipés de rampe d’accès pour fauteuil roulant.
“Hélas ! À voir le nombre d’embauches, je doute que cet objectif puisse être atteint à temps pour à temps pour les J.O de 2024” déclare Yann Ricordel avec inquiétude, le directeur général délégué des Taxis G7. Mrs Yann se trouve qu’il en connait un rayon, en matière de taxis adaptés aux personnes à mobilité réduite (PMR).
L’industrie du taxi parisien est en ébullition. La loi, actuellement débattue au Parlement français, permettra à 1 000 taxis PMR de circuler dans les rues de Paris pour les Jeux olympiques de 2024.
Cette loi a suscité de nombreuses critiques de la part des chauffeurs de taxi, car elle les obligera à concurrencer des véhicules moins chers et plus respectueux de l’environnement.
Un taxi à grand coffre et un chauffeur conscient aux PMR font toute la différence
En 2004, les chauffeurs affiliés à la station radio G7 Taxis Services (un opérateur de taxi en France) ont été encouragés à acheter un « véhicule adapté aux fauteuils roulants ». pour une utilisation dans la flotte de taxis. L’objectif était « d’éviter la pratique discriminatoire consistant à transporter des personnes à mobilité réduite à bord des bus ». En 2006, la France est devenue le premier pays à interdire l’examen du permis de conduire aux conducteurs en fauteuil roulant.
Cette dernière appellation figure deux types d’aménagement : “Aujourd’hui, la flotte G7 Accès compte plus de 2.000 taxis dont le coffre est suffisamment vaste pour accueillir un fauteuil replié (pour la plupart de la carrosserie break)”, détaille Yann Ricordel. Ils sont soutenus par « 200 taxis équipés d’une rampe rétractable, qui permet au client de se déplacer installé dans son fauteuil roulant ».
Les taxis PMR seront importants pour cet événement, car ils transporteront les personnes à mobilités réduites PMR vers les différents sites sportifs. Le service de taxi PMR est actuellement disponible aussi à Pékin et Shanghai, mais il devra être étendu s’il veut répondre aux besoins des organisateurs olympiques en 2024.